One Comment

  1. Travail étonnant, analyse brillante sur ces affaires de meurtre, merci John…

    Quelle baise en grappe d’injustice…
    Ce coroner Jean-Pierre Rivard me semble être un charlatan. Il a totalement ignoré les preuves dans les trois meurtres. Je remettrais sérieusement en question son professionnalisme et sa crédibilité dans chaque cas d’homicide qu’il agissait comme coroner.

    La façon dont les enquêteurs de la police ont traité ces trois affaires de meurtre était une mascarade et n’était pas professionnelle, les preuves étant ignorées et battues, les témoins intimidés pendant les interrogatoires, etc. Même si Laplante était un criminel, il ne méritait pas d’être traité avec une telle injustice et d’être condamné à la prison à vie pour des meurtres qu’il n’a pas commis. Car en faisant cela, ils ont laissé le(s) vrai(s) tueur(s) en liberté et ont probablement permis que d’autres meurtres aient lieu.

    Charland était sans emploi, mais il a prêté 160 $ à Laplante pour que ce dernier puisse acheter une arme ? Où Charland a-t-il trouvé cet argent s’il était sans emploi ? Il a admis avoir volé, avec son jeune frère et ses copains, le véhicule de Larochelle, le colocataire de Carole Fecteau, mais il a aussi vendu une Oldsmobile à Laplante. Jean Charland a également menti lors de l’interrogatoire de la police. Le frère de Charland était le petit ami de la fille assassinée Fecteau. Carole Fecteau faisait du trafic de drogue pour Jean Charland et Raymond Grimard. Les Charland sont ceux qui étaient liés aux personnes assassinées Fecteau, Grimard et Bergeron. Comment et pourquoi la police a-t-elle ignoré tous ces faits ?

    Non, Laplante n’a pas pu être impliqué dans le meurtre de Theresa Allore, Laplante était fermement enfermé en novembre 1978…

    Nous savons où Theresa Allore a été vue vivante pour la dernière fois le 3 novembre 1978. Où résidait Charland en novembre 1978 ? Charland n’était-il pas de Lennoxville ? A quelle distance se trouvait le Collège Champlain de l’endroit où Charland résidait ? La police a-t-elle fait preuve de diligence raisonnable et demandé à Jean Charland où il se trouvait et s’il avait un alibi pour le soir de la disparition de Theresa Allore le 3 novembre 1978 ? Parce que tout enquêteur sain d’esprit, doté d’un QI moyen et d’un peu d’honnêteté, aurait considéré Jean Charland comme un suspect principal, connaissant son histoire et sa proximité.

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