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  1. La section des crimes majeurs du SPVM, la police de Longueuil et la Sûreté du Québec : un sacré boulot ! Après 44 ans, on a enfin pu identifier une victime ! Espérons qu’il ne faudra pas 44 ans pour trouver le nom du coupable ! John Allore a informé la Sûreté du Québec en 2017 et pendant tout ce temps, durant les quatre dernières années, la police a attendu et n’a pas eu de réponse ! Si ce n’était pas John Allore, ces soi-disant enquêteurs de la police n’auraient même pas fait le lien entre la victime et le cadavre. John Allore a été le premier à faire le lien entre le cadavre de la jeune femme retrouvé à Longueuil et la disparition d’Evelyne Levasseur-Pulice.
    Peut-être que la Section des crimes majeurs du SPVM, la police de Longueuil et la Sûreté du Québec devraient embaucher John Allore comme consultant et lui demander son avis sur ces affaires non résolues qui attendent depuis 43 ans (c’est-à-dire, si John Allore le souhaite bien sûr). Après tout, chers à la Section des crimes majeurs du SPVM, au Service de police de Longueuil et à la Sûreté du Québec, il faut avoir des couilles pour admettre qu’on a eu tort et qu’il est peut-être temps de changer la façon dont votre service fonctionne et d’écouter les spécialistes et les experts pour apprendre quelque chose.

  2. Une dernière chose : comme je l’ai toujours dit, La Presse est l’un des journaux les plus décents de tout le Canada, le seul journal qui vaut la peine d’être lu. Merci, NICOLAS BERUBE, pour votre article et merci à toute l’équipe de LA PRESSE ! Ne changez jamais votre politique de publication !

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