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  1. Merci encore une fois pour vos efforts, pour un autre épisode fascinant ici.

    Ceux qui n’avaient aucune morale étaient en charge de de l’escouade drogue, alcool et moralité !
    Patrick Hall et Leo Hamel, chef de la police de Lennoxville, n’ont pu arrêter que des adolescents lors de leur descente dans la boîte de nuit Disco Robert. Pourquoi n’ont-ils pas arrêté le propriétaire de ce club qui faisait des affaires louches et autorisait des enfants dans son établissement ? Les propriétaires du bar Disco Robert trafiquaient et vendaient la drogue, la police le savait. La police n’a-t-elle pas osé arrêter les Charland ? Les Charland et Régis Lachance et son frère faisaient des affaires louches ensemble et étaient intouchables, alors que des jeunes filles étaient attaquées ou assassinées juste au coin de Bishop’s Uni. Les Charlands et les Lachance contrôlaient la police.

    Je ne peux même pas commencer à écrire ici à quel point j’ai été bouleversée lorsque j’ai appris que l’université de Bishop n’avait pas pris de mesures pour protéger les étudiants.

    Et je viens de lire cet article dans le Journal de Montréal avec le titre “DISPARITION MYSTÉRIEUSE : UNE HISTOIRE DE DROGUE ?”:
    Combien a-t-on offert (payé) au Journal de Montréal pour publier ce satané article, je me le demande… ?

    Le journalisme a une responsabilité envers la société, la presse a un certain pouvoir, surtout à cette époque où il n’y avait pas d’internet ou de possibilité de naviguer à la fin des années 1970. Ils ont abusé de ce pouvoir en publiant un tel article de campagne de dénigrement, que nous appelons ici en Europe “assassinat de personnage”, “mensonge institutionnalisé” et “fausses nouvelles”, alors qu’ils appelaient cela “journalisme” dans les Cantons de l’Est à l’époque.

    C’était une bande de charlatans égoïstes qui n’avaient ni morale ni décence. Le rédacteur en chef devrait avoir honte de fabriquer une telle “histoire de drogue” et de manipuler l’opinion publique. Cet article n’avait aucune valeur. C’est un article douteux, et c’était une désinformation délibérée, qui a stoppé l’évolution de l’affaire et l’enquête. Quand on lit le titre de cet article, on a l’impression que Theresa Allore a peut-être quelque chose à voir avec la drogue et que personne ne devrait se soucier de sa disparition. La personne qui a écrit cet article et le rédacteur qui a approuvé sa publication pourraient être la même personne, remarquez ! S’ils avaient eu les couilles, s’il y avait un peu de vérité dans cet article, ils auraient publié le nom de l’auteur et ce ne serait pas anonyme. Theresa Allore n’a malheureusement pas survécu, mais la vérité survit et nous voilà presque 44 ans plus tard.
    Ils ne pouvaient pas arriver à la cheville de Theresa Allore ou à toute autre fille qui a souffert quand il s’agit de la dignité.

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