Des centaines de meurtres non résolu au Québec
Je tiens à préciser quelque chose de l’article dans la Sherbrooke Record:
“Alors qu’il est l’un des huit familles qui poussent à une enquête publique sur les crimes non résolus, Allore dit qu’il ya facilement 30 cold-cases des années 70 et 80 au Québec seulement.”
Ce nombre est plus comme 150 cas non résolus des années 70 et 80 pour la Sûreté du Québec seulement (nous ne sommes pas compter Longeueil, Laval, SPVM ou l’un des autres municipalités). Laisse-moi expliquer:
Pour la période de 30 ans 1976 à 2005 la Sûreté du Québec avait un total de 1.245 homicides, avec un taux de dégagement d’homicide d’environ 80%. (Tout cela est de StatCan: cliquez ici) Cela équivaut à environ 250 homicides non résolus pour la période de trente ans. Les deux tiers de c’est 165, donc disons 165 cas de froid pour la Sûreté du Québec des années 70 et 80.
Si vous tenez compte de tous les autres décennies et toutes les autres juridictions, vous êtes probablement à la recherche à un nombre bien plus de 1.000. La Sûreté du Québec compte actuellement 31 cold-cases affichés sur leur site, nulle part près de la représentation adéquate des meurtres non résolus.
Je ne me suis pas exprimé très bien pour expliquer cela à Matthew McCully. Je faisais une connexion à l’airport de Laguardia, et donc je suis un peu fatigué. Voici où le nombre 30 est venu:
Il est vrai qu’il ya actuellement 8 familles qui réclamaient le ministre de la Sécurité publique, Martin Coiteux pour une enquête sur la mauvaise gestion de cold-case au Québec. Je dis que nous avons probablement besoin de plus comme 30 familles représentées avant que le ministre a commencé à entendre notre request, et que cela était probablement le nombre maximum de familles nous jamais être en mesure de trouver (même si je pense que le nombre de cas mal gérées tombe plus en ligne avec le nombre total de cas = ils mal gérés chacun d’eux).
Voici pourquoi je pense que nous pouvons trouver 30 froid-cas:
Il est extrêmement difficile de traquer ces enquêtes:
- D’abord, vous devez trouver le crime historique.
- Vous devez établir que le crime reste entier.
- Pour les articles un et deux ci-dessus, ne même pas la peine d’aller à la police: ils ne seront pas vous dire quoi que ce soit.
- Une fois que vous avez établi qu’il est en fait un cold-case, vous devez trouver les familles. Cela peut être particulièrement difficile. Dans la plupart des cas, les parents de la victime sont maintenant morts. Votre meilleur pari est si la victime avait un frère, vous avez au moins un bon coup de les traquer parce qu’ils partageaient le même nom. Si elle est une sœur de frères et sœurs? Ils se marient, ils ne partagent plus le même nom. Si la victime était un seul enfant? Oubliez ça: tout le monde est mort = affaire ferme = il ne sera jamais résolu.
- Même si vous obtenez au-delà de tous les obstacles présentés au point 4, la famille doit être prêt à participer. Dans de nombreux cas, les familles ont évolué. Ils auraient simplement dès oublier toute chose que de prendre sur la mise en place de la Justice du Québec.
Compte tenu de tous ces facteurs, voilà pourquoi je l’ai dit qu’il était réaliste que nous ne serions en mesure de trouver environ un maximum de 30 noms à se joindre à une pétition au ministre de la Sécurité publique, Martin Coiteux.