Plus étranglements – Lise Choquette, 22 Avril 1975
Moins de trois semaines après Sharon Prior se trouve le corps de Lise Choquette (30 ans, 5’1 “, 141 lbs) est découvert par Alexandre Aube, un employé avec Corrival à Laval. Aube travaillait sur la nouvelle construction de autoroute 440 quand il a trouvé le corps nu à proximité du site de construction du Viaduc Vimont à environ 11h00 le mardi 22 Avril, 1975. Choquette a été retrouvé gisant dans la boue d’environ 275 pieds derrière le Québec Ciment, une entreprise à 101 Chemin Haut- Saint-François, à Laval.
Les enquêteurs sur la scène étaient M. Lafond et André Lebrun de la police de Laval, assisté par le Sgt Det Fred Funaro et SD Jean Guy Sauve. Choquette a été battue et étranglée, et trouvé seulement avec une cravate autour de son cou (cravate grise avec des cercles noirs faites par “Caporicci”). La cravate était “très serré” autour de son cou. Il y avait une petite quantité de sang autour de son nez. Ses vêtements se trouve à environ 200 pieds du corps. Elle avait pas d’identification ou de bijoux, bien que la police savent que Choquette portait un anneau. Le corps n’a pas été disposé à l’emplacement pour un temps très long.
Choquette vivait au 2247 rue Lariviere, à environ un pâté de maisons du siège de la Sûreté du Québec sur la rue Parthenais.
la résidence Choquette était à environ 10 minutes de route de l’endroit où Denise Bazinet vivait, au 4252 rue Brébeuf. la résidence Bazinet se trouve à 10 minutes de marche de l’endroit où Lison Blais vécut et mourut, au 4685 avenue Christophe Colomb.
Medicale Legale
Le corps a été identifié par la mère de Choquette, Emelide Choquette qui vivait à 6668 44e à Montréal. L’affaire a été menée par Sergent-détective Alfred Funaro de la police de Laval. Le coroner en chef était Maurice C Laniel, Assistent par André Brosseau (pathologiste).
Dans une déclaration sous serment à André Gauthier, un sténographe Sûreté du Québec, le 6 Novembre 1975 (au nom du bureau du coroner), Funaro a déclaré qu’il avait interrogé plusieurs personnes, mais sans résultats, et que l’enquête était en cours. Choquette a subi une «mort violente», mais la police avait besoin pour poursuivre leur travail, et de faire rapport à l’avenir.
Pour le moment, l’affaire était une “Enquete sine die”.
Autopsie
Le rapport d’autopsie réelle détermine la cause de la mort plus précisément: «strangulation et contusions connectés” autour de sa tête. Alors Choquette a été étranglé et frappé à la tête. Il n’y avait aucun signe de l’alcool dans son système.
L’autopsie a été réalisée par André Brosseau au request de Roch Heroux au laboratoire médical Parthenais. Il n’y avait aucune preuve de sperme dans la zone du vagin.