Cédrika Provencher: Nos pires craintes
Pour cours de la dernière décennie-près vous pourriez ne pas être dans la province de Québec et pas eu connaissance de l’histoire, ou au moins la face, de Cédrika Provencher. La jeune fille de 9 ans a disparu le 31 Juillet 2007, près de son domicile à Trois-Rivières. Ses parents – principalement son père, Martin – étaient dans les nouvelles demandant régulièrement le public pour obtenir des réponses. Cédrika est devenu – littéralement – une affiche-enfant perdue innocence et la peur. Elle était / est ce que Maura Murray est au New Hampshire, ce Brianna Maitland est au Vermont, ce que Alison Parrot a été pendant plus d’une décennie à la ville de Toronto.
À l’automne de 2007, je me suis rendu à Québec pour une réunion avec le ministre de la Sécurité publique. Je pris cette photo de Cédrika long de l’allée des artistes au face de la Château Frontenac. Il aurait pu être prise n’importe où: la ville était jonché de ces avis.
Maintenant vient les nouvelles que les restes trouvés hier par des passants dans les bois sur le bord de l’autoroute 40 à St-Maurice, près de Trois-Rivières, sont ceux de la jeune fille. Je ne vis pas actuellement au Québec, mais je peux vous dire, sans un pouce de doute que la province a le cœur brisé.
Au fil des ans J’y ai pensé ce cas, mais pas profondément. Je dois avouer que tant de ressources ont été lancées sur ce cas que Cédrika ne semble pas avoir besoin de mon aide. Dans le début Pierre Boisvenu et AFPAD se sont battus pour l’utiliser comme justification de la Sûreté du Québec pour engager une équipe spécifiquement dédiée aux personnes disparues dans les premières 48 heures de disparition. Je sais que la Sûreté du Québec a pris l’affaire au sérieux parce que souvent je ne pouvais pas faire avancer les choses sur le cas de Thérèse, parce que la SQ était de doubler vers le bas sur Cédrika. Pour la petite histoire, je devais pas de problème avec cela. Je l’ai toujours cru que les ressources de la sécurité publique doivent être utilisés pour les enquêtes en cours abord et avant tout.
Mais alors, ce cas très immédiate est devenu un cas à froid. Parfois, il a semblé perdre son foyer, avec la police chasse les suspects d’aussi loin que le Nouveau-Brunswick. Le réalisateur de documentaires, Stephen Parent a fait un pas de relier la disparition de Provencher pour les meurtres de plusieurs enfants au Québec en 1984. Je ne sais pas ce que je pensais être le résultat, mais il n’a pas été présent. Ce ne fut pas les nouvelles d’hier que les os ont été trouvés dans des bois à moins de 10 miles de l’endroit où l’enfant a disparu. Ce ne fut pas que, pour les 8 dernières années Cédrika a probablement été sous le nez de tout le monde: ce résultat semblait trop d’un cliché.
Espérons que cela va se régler dans une certaine forme de la résolution satisfaisante. À ce stade, ce que ne peut signifier la justice. La première voudront répondu à la question tout le monde est, combien de temps les os étaient là? Les restes avaient été couchés dans ces bois pour les 8 dernières années, ou étaient-ils placés là-bas récemment? Mais la question plus large – Encore une fois, malheureusement – est la suivante: qui a commis ce crime, et avait commis des crimes similaires, ils avant et après le 31 Juillet 2007?