8 Comments

  1. Reading your posts, Montréal Police, Quebec Provincial Police, RCMP’s POlice, Municipal police, every one of them is incompetent! Who to trust then?

  2. For the victims there is no use to trust anyone anymore since the worst has already happened to them. The investigation is a public formality; it looks good when a case is solved. There is no will in our country to be the best trained police with the best resources on the planet like few other countries. It would cost too much, I suppose? Politics!

  3. Bonjour, pour l’accent, je trouve qu’il parle comme Claude Poirier, Montréalais qui roule ses “r”.
    On entend aussi ça dans les cantons de l’est.
    À mon humble avis, il ne sonne pas comme un Gaspésien.

    1. I’m not trying to sound like anyone. It’s done off-the-cuff, in the moment. It’s not rehearsed like I’m some Andre Philippe Gagnon impressionist. PS: that was 4 years ago.

  4. Bonsoir, John,
    Je trouve que le profil du meurtrier de Mme Hawks a quelque chose de commun avec celui du meurtre de Louise Camirand de Sherbrooke, assassinée sauvagement en mars 1977. Le meurtrier fait une fixation sur les chaussures, les gants et les sacs-à-main en cuir. Ses parents gagnaient sans doute leur vie dans ce domaine d’articles en cuir. Quoi que ce soit qui se passait dans sa vie, il s’est mis à entretenir des fantasmes sexuels autour de ces articles en cuir pour femmes. Il travaillait eut-être dans le domaine ou y était possiblement toujours connecté de quelques façons. Le meurtrier qui a téléphoné à la police pour signaler son agression de Mme Hawkes s’exprimait comme une personne habituée en public comme un chef d’entreprise, un commerçant, un policier, un militaire, et j’en passe. Mon impression est qu’il était loin d’en être à sa première victime. Un peu, il disait à la police (au téléphone) : «Zut, je n’ai pas encore pu me contrôler.» Bien qu’il ne l’a pas dit, cela se sent bien, lorsqu’on écoute l’enregistrement. À part de cela, il est plus que probable que le meurtrier de Louise Camirand se déplaçait régulièrement surtout entre Montréal et Sherbrooke par affaire. Si ma mémoire est fidèle, il manquait à cette dernière, des articles de cuir tel que ses bottes, son sac et un gant.
    Si quelqu’un sait comment accéder en ligne à des enregistrements d’émissions de radio et de télévision (au moins, Montréal et Québec) à partir du début des années 70, laissez le moi savoir, s’il-vous-plaît.

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